Il y a de quoi se glorifier d’être la ‘’voix’’ d’un érudit de la trempe de Maodo Malick Sy. Surtout quand le fait résulte d’un héritage qu’on tient de son père. Le digne fils de v El hadji Mbaye Dondo Mbaye est parmi les fieryté de la ville Sainte de Tivaoune, voire de la tarikha Tidiania au delà, de la Ummah Islamique.
Il existe en effet un dicton Wolof qui dit que quand on enfants on ne meurt pas. Le chanteur attitré des écrits de la famille de Maodo Malick Sy est en effet le profil adéquat qui donne corps à cette maxime. Mbaye Dondé le père est décédé mais la voix ne s’est jamais tue. Elle s’est réincarnée en son fils. Amadou Mbaye Dondé dit Doudou n’a pas eu toutes les peines pour reprendre ce flambeau à son père. Une reprise d’un héritage qui lui est d)u avec une voix qui retentie encore tel un rossignol à la lumière des enseignements de Seydil Hadji Malick et de Serigne Babacar Sy.
L’homme n’est pas seulement ce chanteur qui séduit tout un monde par son aptitude en la matière. C’est un intellectuel et pourrait revendiquer le titre. Doudou a été à la faculté de lettre au departement Portugais à l’Université Cheikh Anta Diop. Au paravant, il a eu son baccaleauréat littéraire En 1982. Amadou Kende Mbaye a débuté son apprentissage du coran à l’âge de 5 ans et intègre l’école 1 de Tivaouane, actuel école Serigne Mansour Sy, Borom Daaraji.
IPar la suite Doudou Kende a fait long séjour en France et en Italie pour des activités professionnelles. « Seulement il a toujours eu en bandoulière cette necessité de poursuivre la tradition de sa famille depuis son grand père et hommonyme AMdou Mbaye Maodo. Aujourd’h’ui, avec la mort de son père il est mieux que quiconque en train d’ immortaliser les écrits de Maodo et surtout ceux de Cheikhal Khalifa Ababacar Sy.
Lorsque Serigne Abdou Aziz Sy Al Amin lui demande de rester épauler son père dans sa mission, la nouvelle est tombé sur lui tel un couperet. Seulement la maitrise de la science coranique et surtout sa belle voix, étaient déjà là. L’homme tronque donc son ambtion de devenir journaliste et passe très vite à la transition. Ce avec la bénéfdiction d’un père qui, sur le lit d’hopital, a donné le relais à son fils. Et Depuis, la voix retentie au rythme de « Allah Yow Mou Khô » et « Ya Man Ata » « Khilassou Zahab » ou « l’Or décanté ».
Yandé Diop