Bonne nouvelle ! Le commissaire aux enquêtes économiques Amadou Touba Niane, chef du service régional du commerce de Diourbel, préconise la facturation de la vente des moutons.
Selon Niane, repris par Libération, il faut que les ventes fassent l’objet d’une facturation «parce que le mouton reste une marchandise comme toutes les autres formes de marchandises».
Cela dit-il, pour permettre une traçabilité des opérations et l’amélioration du dispositif de commercialisation.
«Il y a énormément de phénomènes qui se passent autour des opérations de vente des moutons et au moins pour pouvoir avoir des débuts de solution, il faut en arriver à imposer la facturation de la vente».