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«Pierre PASTEL : «Je veux parler à un humain». Pour une société de Bienveillance» par Amadou Bal BA –

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Dans son nouvel ouvrage, «Je veux parler à un humain», paru en avril 2022, Pierre PASTEL, universitaire, sociologue, psychothérapeute, addictologue et coach, s’interroge sur la nature des relations humaines. «Nous faisons merveille quand il s’agit de construire des machines ou bien de vendre. Mais quand il s’agit seulement de parler l’un à l’autre, nous avons peur et tirons nos revolvers» écrit Richard WRIGHT (voir mon article). « Si nous savons écouter notre silence intérieur nous pourrons construire un autre monde en dépression pour une éducation à la bienveillance universelle » dit le professeur Pierre PASTEL auteur d’un livre « je veux parler à un humain ».

Lire cet ouvrage du professeur Pierre PASTEL, «Je veux parler à un humain», cela vous transfigure et remet les choses à l’endroit. On s’interroge parfois, et souvent intuitivement, sur des questions essentielles de la vie : quel sens devrions-nous donner à notre existence ? On ne sort pas indemne de cet opuscule du professeur Pierre PASTEL, d’une très haute facture, «Je veux parler à un humain», par la qualité de son expression écrite, son riche et savant vocabulaire, mais surtout en raison de sa dimension initiatique et ésotérique qui vous transfigure ; il vous transporte vers l’essentiel et le sens de notre vie. De nombreux textes, mis en annexe, permettent de mieux saisir le message que veut nous délivrer l’auteur.

Depuis les temps immémoriaux, deux forces gouvernent le monde : le Bien et le Mal. Tout le sens de la mythologie grecque, c’est ce chemin menant du Chaos à l’Harmonie. Pierre PASTEL milite ardemment pour une relation humaine portée par une culture de Bienveillance individuelle et collective. Dans cette quête du Graal, l’auteur dialogue non pas avec les Djins, mais un esprit invisible qui se définit comme étant «la Dimension Qui Embrasse Tout». On finit par comprendre que Pierre PASTEL dialogue avec lui-même, sa conscience «Je suis ici et partout à la fois. Tu ne peux ni me voir, ni me toucher, mais je suis bien là, avec toi, à côté de toi, autour de toi».

Il y a quelque chose de particulièrement subversif dans ce livre, «Je veux parler à un Humain». Pierre PASTEL y déconstruit de nombreux concepts ; certains s’acharnent à détruire cet esprit cartésien et critique, le «mensonge est érigé en mode de gestion politique» écrit-il. En effet, les forces du Chaos, appelant au conformisme et à la docilité, s’évertuent à faire taire l’esprit critique libérateur et à étouffer la grandeur de l’esprit humain considéré comme un délit. Par conséquent, Pierre PASTEL constate que quelque chose ne tourne pas rond dans notre société prétendu rationnelle «Dans un univers cartésien, matérialiste, où le réalisme s’est fait fondement, le rationalisme expert gestionnaire, la raison raisonnée ossature lumière du monde et où l’émotion est sommée de rester croupie au 100ème sous-sol, je vois qu’une ombre est élevée au rang de réel ; elle devient prétexte de tout, pour tout, l’impassable, la justification de l’inacceptable» écrit Pierre PASTEL. Certaines personnes au lieu d’éclairer les consciences, deviennent des «spécialistes de tout, dans tout et sur tout, mais à propos de rien» écrit-il.

Dans ce système politique du mensonge, de «monopole de la souffrance» et de la dissimulation, on fabrique des êtres «radicalisés», sans raison et sans morale, programmés vers la «perte de soi et l’anéantissement des autres ; détruire l’autre, sans état d’âme ; l’autre, et paradoxalement soi-même et ceux qu’on aime» écrit Pierre PASTEL. Par une folie aimante, afin d’être traité d’égal à égal, un regard laser sur la vie, afin de bousculer notre conscience, Pierre PASTEL convoque «la capacité à résister à l’infâme».

Aussi, face à la montée des forces du Chaos, Pierre PASTEL, comme d’ailleurs Hannah ARENDT (1906-1975) et Antonio GRASMCI (1891-1937), interpelle notre conscience et demande à chacun d’entre nous, de «tenir son rang d’Homme» suivant Sénèque, de prendre ses responsabilités, d’entrer en résistance : «Le silence est d’or lorsqu’il constate la quiétude effective de l’Homme, mais qu’il est fiel, qu’il est crime lorsqu’il encense la putréfaction de l’élégance humaine» écrit-il. En dépit des menaces de représailles ou de marginalisation, Pierre PASTEL fait appel aux accompagnants aux passeurs, aux éveilleurs de conscience ou de Bienveillance, ces «cadres non-fakes qui donnent de leur générosité, de leur temps pour décrypter, décoder le bout du réel qu’ils maîtrisent et les divulguent avec force, modestie et détermination, parfois au risque de perdre leur poste de travail ou leur vie tout court» écrit-il. Pierre PASTEL lance un cri «ça suffit !» dans toutes les langues «J’entends des milliards d’humains, crier, dire la même chose : ça suffit ! Tous les jeux sont des jeux. Cependant casser du bois dans le derrière d’un macaque n’en est pas un» écrit-il. Pierre PASTEL exhorte à la lucidité et à une culture universelle de l’Amour : «Il ne peut y avoir de valeurs plus constructives que celles finalisées par des aspirations d’amour inconditionnel, trans-personnel» écrit-il.

En ces temps de crise sanitaire mondiale, Pierre PASTEL dresse un tableau, sans complaisance contre la recrudescence de «Fakes humains» propagateurs du «règne de l’illusion». En effet, j’avais cru, naïvement, un instant, que cette pandémie avait réveillé a conscience humaine universelle, pour une société internationale de bienveillance, au cœur de la pensée de la pensée de Pierre PASTEL, pour une réflexion globale «d’un monde d’après», une coopération internationale équitable, la justice, la fraternité et la paix entre les peuples. Erreur tragique. Les bruits de botte retentissent depuis l’Ukraine, avec une résurgence de la guerre froide, au temps de l’arme nucléaire, avec un risque d’un troisième conflit mondial. Le plus grave de tout cela, dans leur manque de bienveillance, les Occidentaux qui avaient engagé des guerres locales, injustes, fort coûteuses, qu’ils ont toutes perdues, avaient refusé d’accueillir les réfugiés du tiers-monde, livrés à la drogue et aux calomnies. Pendant ce temps, l’Europe, accueille plus de 6 millions de réfugiés Ukrainiens, à bras ouverts, envoient massivement des aides et des armes à l’Ukraine. Tant pis, si tout cela débouchait sur un troisième conflit mondial à l’ère nucléaire ?

Sur le plan interne, loin de la bienveillance, des réformes funestes, comme l’âge de la retraite à 65 ans, resurgissent. La vie est chère pour les gens de conditions de modestes, les riches qui se sont partagés 134 milliards de profits en 2021, ne consentent à ceux qui souffrent, par une théorie du «ruissellement» que quelques miettes.

Le professeur Pierre PASTEL a doublement raison d’interpeller notre conscience au sujet de la bienveillance universelle et collective. Moi qui vient d’une société traditionnelle africaine, en particulier peule, celle du partage, de la société, de la compassion, notamment à l’égard des faibles (personnes âgées, femmes, pauvres), j’observe avec une grande consternation une crise de ces valeurs. Le monde ancien n’a pas encore disparu, mais un nouveau monde n’a pas encore vu le jour. Bref, c’est la crise, comme le dirait un intellectuel italien, Antonio GRAMSCI (1891-1937). Au nom de la solidarité, et sans aucune recherche d’autonomie ou de développement de la valeur travail ou du civisme, l’assistanat est devenu la règle. Nos gouvernants, loin de bien gérer nos ressources, ont encouragé parfois des parasites, comme les religieux, une clientèle politique, loin des valeurs de la bienveillance. L’argent à tout pourri dans les sociétés africaines. J’ai parfois l’impression, à grand regret, que mon pays d’origine, le Sénégal, est devenu une nation de 16 millions de mendiants. Très souvent si quelqu’un vous appelle, après de très longues et pénibles salutations, ce n’est pas vraiment pour prendre de tes nouvelles, c’est pour solliciter un service ; ce n’est pas une faveur, c’est surtout, dans son esprit, un dû. Où est donc cette société de bienveillance d’antan, que veut reconstruire, le professeur Pierre PASTEL ? Oui, je veux parler à un humain !

Face à la pauvreté des relations sociales, Pierre PASTEL crie, fort justement, à la face du monde «Je veux parler à un humain». Dans ma rue, au café, dans le bus 71 que je prends pour aller au boulot, comme à ma mairie ou à la cantine, j’ai tendance à saluer tout le monde, ces visages si familiers, mais dont j’ignore le nom. Pour l’essentiel, ils sont humains et vous répondent avec empressement et joie. Malheur à toi, si tu salues trop longuement à l’africaine ou deux fois dans la journée un Européen. Il te répondra sèchement soit : «On se connaît ?», ou «Je t’ai déjà vu !». Les Africains vivant de longue date en France, redoutant une sollicitation, sont inquiets dès qu’on leur adresse parole : «Tu veux quelque ?». Maintenant comme l’indique le titre de l’ouvrage de Pierre PASTEL, «Je veux parler à un humain», je saurais quoi répondre.

Arrivant très tôt au travail et découvrant que les agents d’entretien attendaient devant le portail sous la peine je leur dis, avec mon Pass : «Bonjour Mesdames. Veuillez-vous donner la peine d’entrer. Je vous offre un café». Aussitôt après une dame d’origine ivoirienne se mit à verser de chaudes larmes, et me dit qu’à la veille de son départ à la retraite, après plus de 35 ans de services, les gens passent toute la journée sans la voir, une minorité invisible.

Il est vrai que ces relations sociales avaient déjà été considérablement dégradées depuis que la France est passée de la société rurale à l’ère industrielle, avec son individualisme forcené. On abandonne ses parents, qui s’étaient bien occupés de vous, dans des hospices fort coûteux et parfois peu sécurisants. Cette dégradation des relations sociales s’est encore accentuée avec la révolution du numérique ; on parle beaucoup aux autres, mais à distance, essentiellement, par des nouvelles technologies, comme Facebook, on like, on veut des messages vocaux par WhatsApp ou par Skype, mais on prend peu de temps pour s’arrêter et voir ceux qu’on aime.

Si cette crise sanitaire, loin d’être terminée, avait eu le grand mérite de remettre les valeurs essentielles de la vie, dont la bienveillance qu’évoque le professeur Pierre PASTEL au centre du jeu. En effet, pendant longtemps, les sociétés industrielles, au mépris des valeurs de la vie, avaient mis les profits financiers au-dessus de tout. En raison d’une sacro-sainte rigueur budgétaire, il ne fallait pas plus de 3% de déficit. Afin de conserver les marges de leurs de leurs profits, les riches s’acharnaient, sans arrêt sur les faibles. Et voilà subitement que les nantis se rendent compte que sans la santé rien ne va et dans un monde globalisé, la solidarité entre pays pauvres et pays riches, en matière de soins est nécessaire pour bien combattre le Covid-19. Subitement, les milliards pleuvent et un temps record, là où on pas encore trouvé un vaccin efficace contre le SIDA, le cancer, le diabète ou les maladies dans les pays du tiers-monde, les laboratoires ont rivalisé d’ingéniosité et d’efficacité.

Pierre PASTEL dénonce avec humour et férocité, les forces du Chaos, avec grave déni de dignité humaine, à travers ce qu’il appelle les présidents Fakes protecteurs des nations, garants du bien-être et du bien-vivre ensemble et qui provoquent «la peur, la désolation des populations, la discrimination, soutenir avec force et brutalité l’organisation du désordre et du chaos» écrit-il. Certains traitent les êtres humains comme le Kakos, comme des bouts de viande. Le déclic de ce combat de la bienveillance est venu à la suite d’une visite, à la Maison des esclaves de Gorée, en 1980, Boubacar Joseph N’DIAYE (1922-2009), conservateur de l’époque, ayant mené la visite sur «un ton aimant et doux, malgré la gravité» du sujet. «Prenons garde que les gestes commémoratifs politiques ne constituent point, par leurs doubles mesures, des injures aux blessures toujours sanguinolentes. C’est par une profonde intelligence du cœur que méritent d’être soignées les plaies historiques et mémorielles qui affectent notre vécu collectif. Il s’agit bien de construire un être-ensemble profondément fraternel, respectueux et apaisé» écrit-il le 10 mai 2021, «pour un projet de bienveillance universelle».

Ici, en France mon pays d’adoption, après plusieurs siècles de colonisation d’esclavage et maintenant d’indépendance dans la dépendance à travers la Françafrique la presse de Vincent BOLLORE, et certains médias, distillent à longueur de journée leur discours de haine. La violence et le mépris dans lequel on tient les faibles est insupportable. Aussi, Pierre PASTEL dénonce ce lynchage médiatique «Je vois une légion d’humains Fakes, détenteurs d’un certain pouvoir d’influence, humilier, discréditer, intimider» et tous ces «propagandistes de l’incertitude» n’ont qu’un seul but : l’abandon de l’esprit critique au bénéfice d’une «confiance aveugle exigée». En fait, les «vulgaires et les voyous, ce sont qui pensent avoir le monopole de la souffrance, être les seuls à exiger une thérapeutique, le pardon et la réparation» écrit Pierre PASTEL.
Cette France de la diversité, par la colonisation l’esclavage l’effort aux guerres mondiales la reconstruction de ce pays pendant les 30 glorieuses et récemment sa mobilisation pendant le COVID-19, mériterait un peu de respect et de considération. Les forces du Chaos et de la Discorde, dans le profond déni de ce racisme institutionnel et systémique, sortent, constamment, le fouet à chaque fois qu’un racisé émerge. Jadis c’étaient Danièle OBONO, Christiane TAUBIRA, Sibeth N’DIAYE, Audrey PULVAR et maintenant c’est Pap N’DIAYE avant même qu’il n’ait pris ses fonctions ministérielles. Tous rejetés au fond de la cale, parce qu’illégitimes, par principe, d’occuper de hautes responsabilités au sein de l’Etat. Et pourtant le multiculturalisme est en Marche et il faudra donc à vivre dans la bienveillance et se parler comme le recommande Pierre PASTEL. Bref vivre ensemble dans le respect mutuel.

Au cœur de toute cette violence à l’encontre des racisés se cache la question du partage du gâteau. Quelle que soit sa couleur, ses origines, sa religion ou son orientation sexuelle, chacun d’entre nous aspire au Bonheur «de ne pas souffrir et de vivre le bonheur, de traverser cette vie dans la quiétude, la paix intérieure» écrit Pierre PASTEL. Dans ce pays des droits de l’Homme, avec son message universel, on assiste à une résurgence grave et sans précédent des forces du Chaos s’acharnant contre les racisés «Nous sommes face à un dérèglement sociétal, une dépression collective qui bouscule notre identité nos identités, la dignité humaine» écrit Pierre PASTEL. Ce racisme institutionnel et systémique est fait de tromperie, d’hypocrisie et de mensonge pour discréditer et disqualifier les racisés, devenus boucs émissaires et ennemis de l’intérieur, à occuper les emplois valorisants dans ce pays «Les uns se croient naturellement aptes : aptes à recevoir, à gérer le bien commun, à jouir de l’honorabilité ; les autres devant systématiquement négocier leur légitimité à pouvoir jouir de tout cela» écrit Pierre PASTEL. Cependant, il faudrait quitter cette démocratie ethnique et revenir à l’universalisme, à la vraie promesse d’égalité républicaine. En effet, un bien-vivre ensemble sans partage du pouvoir serait une escroquerie. Oui, je dis, comme le professeur Pierre PASTEL, mon cher ami, la poursuite du bonheur pour tous requiert «un partage équitable et durable du gâteau commun, une éducation généralisée à la dignité humaine».

Parfois ça patine, et on remet la cogitation à un autre jour. En lisant cet ouvrage de Pierre PASTEL, «je veux parler à un humain», subitement, on se dit ce qu’il raconte ça me parle. Dans ses exhortations à conserver notre dignité humaine «il ne te suffit pas d’avoir des oreilles pour entendre, il te faut surtout avoir un cœur pour comprendre» écrit-il. Pierre PASTEL, loin de recommander un «activisme déboussolé», appelle chacun à «agir concrètement, maintenant, avec détermination, respect soi et son concurrent, sans complaisance» écrit-il. Pierre PASTEL nous demande de «choisir mentalement le chemin de la vie ; cela réveille en toi ton armée intérieure, créatrice et bienfaitrice» écrit-il. Pas de liberté, sans effort. Dépassons nos peurs qui inhibent ; chacun peut apporter sa pierre en vue de la construction de ce gigantesque édifice de la Bienveillance, pour l’Harmonie de la société «Ma petite pierre à l’édifice, même si elle est de la taille de la charge d’eau que supporter le colibri, voulant braver l’incendie, me paraît contributrice de ce qui doit advenir» écrit Pierre PASTEL de façon messianique.

Références bibliographiques

PASTEL (Pierre), Je veux parler à un humain, préface de Max-Auguste Dufrénot, Paris, Les 3 Colonnes, 2022, 125 pages, au prix de 14 €.

Autres références

PASTEL (Pierre), «Boucanier, Hachoir, lugubre à Kakos», Madinin’Art, 22 juin 2020 ;

PASTEL (Pierre), «Crime esclavagiste et engagement sociétal et mémoriel», Madinin’Art, 27 mai 2021 ;

PASTEL (Pierre), «De qui, de quoi as-tu donc peur ?», Revue Alizés, juin-juillet-août 2015 ;

PASTEL (Pierre), «L’échec un instant sur la chaîne de notre existence : le rebond à portée, dans notre for intérieur», Revue Alizés, avril-mai 2014 ;

PASTEL (Pierre), «L’Homme, ce solide ouaté», Revue Alizés, mai 2008 ;

PASTEL (Pierre), «L’utile, le Futile, l’Essentiel : de l’expérience à la sérénité», Revue Alizés, septembre-octobre 2007 ;

PASTEL (Pierre), «La normalité n’est pas la santé : Civilisation gangrénée, Civilisation malaisée», Revue Alizés, février 2011 ;

PASTEL (Pierre), «La vie aux couleurs inattendues», Madinin’Art, 22 mai 2020 ;

PASTEL (Pierre), «Le déni de la dignité humaine : un frein à la tranquillité individuelle et sociétale», Madinin’Art, février 2011 ;
PASTEL (Pierre), «Les gens ordinaires, les vulgaires et les voyous, les extraordinaires ou les inaccoutumés», Madinin’Art, avril 2016 ;

PASTEL (Pierre), «Qu’ai fais-je de mon intelligence ?», Revue Alizés, 2006 ;

PASTEL (Pierre), «Quel libre choix devant notre société ?», 30ème congrès de l’Association française du Transpersonnel, du 28 janvier 2018, à Paris 13ème ;

PASTEL (Pierre), «Un projet de Bienveillance universelle : hommage aux victimes de la traite des Nègres et de l’esclavage», Madinin’Art, 10 mai 2021 ;

REVEL (Jean-François), La connaissance inutile, Paris, Grasset, 1988, 408 pages.

Paris – Bastille, le 1er juin 2022, par Amadou Bal BA – http://baamadou.over-blog.fr/

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