Ses Drh et Daf limogés, une mission de vérification dépêchée par son successeur pour fouiller dans sa gestion, l’ex-présidente du Conseil économique, social et environnemental, Aminata Touré qui n’a pas goûté au sort qui lui est réservé, contre-attaque.
» Je demande que le Conseil économique, social et environnemental soit audité de sa création en 2013 au jour de mon départ. Mon intégrité et mon honneur n’ont pas de pris », lâche-t-elle, dans un entretien avec L’Observateur.
Accusée d’avoir des ambitions, Mimi Touré se défend: « l’ambition n’est pas un délit que je sache. En politique, on n’est pas assis à regarder les trains passer. »
