Alors qu’ils ont décidé de prendre leur envol, loin du nid douillet de la famille royale britannique, Meghan et Harry songent sérieusement à leur avenir. Un avenir qui ne se construira pas forcément aux États-Unis, et pour cause : il y a un gros bémol.
Il y a quelques jours, Meghan Markle et le prince Harry ont appuyé sur le gros bouton rouge de la polémique. Sur leur compte Instagram officiel,les époux Sussex ont annoncé qu’ils ne souhaitaient plus honorer leur rôle de premier plan au sein de la famille royale britannique. Sans doute las de la pression médiatique, Meghan et Harry veulent désormais construire leur indépendance financière et voler vers d’autres horizons beaucoup plus plaisants – parait-il – que le ciel gris de Frogmore Cottage. Comme l’air frais du Canada par exemple, où ils ont passé les fêtes de fin d’année, et où Meghan Markle est déjà de retour au côté de son petit Archie. Loin de vouloir s’appesantir sur la vive colère que suscite leur décision au sein de la famille royale, le duc et la duchesse de Sussex sont encore plein de projets. Et pensent à tout…
Le cauchemar américain
Comme le révèle PageSix, Meghan Markle et le prince Harry ne sont pas près de s’installer aux États-Unis, pour une raison très simple : Donald Trump en est le président ! Selon une source proche des parents d’Archie, s’ils espèrent un jour s’installer aux États-Unis et avoir « une résidence secondaire au Canada », ça ne se fera pas tant que Donald Trump est président des États-Unis. Une décision ferme sur laquelle Madame ne dérogera pas : « Meghan Markle a déclaré qu’elle ne reculerait pas tant que Trump serait président » a ainsi déclaré une source proche.
Il faut dire que l’ex-actrice américaine n’a jamais été tendre à l’égard de son président. En 2016, lors des élections aux États-Unis et alors qu’elle n’était pas encore duchesse de Sussex, elle avait fustigé l’attitude misogyne du magnat de l’immobilier. Meghan Markle avait d’ailleurs déclaré qu’elle resterait vivre à Toronto, où elle tournait à l’époque la sérieSuits, si Donald Trump devenait président des États-Unis. Chose promis, chose due. En juin dernier, quand le milliardaire effectuait une visite d’Etat au Royaume-Uni, ni Meghan Markle ni le prince Harry n’avaient pris part au banquet organisé en l’honneur du président américain. Même si la jeune femme était alors en congé maternité, son absence en disait long sur ses idées politiques. En novembre prochain, si Donald Trump est réélu lors de l’élection présidentielle américaine, Meghan et Harry feront une croix sur les États-Unis. Pour quatre ans au moins. En attendant, et bien avant de partir, les époux Sussex doivent répondre de leurs actes face à Elizabeth II, ce lundi 13 janvier, lors d’une réunion de crise au sommet. Et ça, ce n’est pas une mince affaire…