Au delà de l’amitié et de l’estime qui lient Malick Sall et Amadou Ba, il faut reconnaître que LAMTORO avait depuis affirmé urbi et orbi que le choix du président serait le sien. Fort heureusement comme le dit bien ma grand-mère « YIDDE TONE NELA TONE ».
Maintenant que notre leader a sonné le rappel des troupes, il nous revient nous autres, ses amis surtout ceux du DAMGA, NGUENAR, BOSOYA, YIRLABE, HEBIYABE, LAO, TORO, jusqu’au fin fond des rives du DANDE MAYO de rendre maintenant à césar ce qui lui appartient : c’est-à-dire, lui rendre la monnaie de sa pièce. Oui c’est ici et maintenant que tous nous devons au delà des belles phrases, des belles chansons, lui prouver que sa générosité, sa solidarité avec les sénégalais d’une manière générale, les foutankais en particulier ne sont passées inaperçu. DIMO KO DIMO TANE. En effet Malick Sall a toujours été généreux et solidaire au gouvernement comme en dehors. Il a toujours mis au devant la solidarité et la générosité parce qu’il a très tôt compris que la différence entre la générosité et la solidarité, c’est que la première est individuelle et la seconde collective mais ce qu’elles ont de commun s’appelle le désintéressent .Tout le monde sait que Maître Sall ne cherche jamais à connaître les raisons pour lesquelles les personnes ont besoin de son aide. Du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, il a partout pris en compte l’intérêt des autres. Qui de nous ne sait pas que la générosité est une liberté dépensière dans ce Sénégal actuel ? Qui de nous ne sait pas que la générosité dans le monde d’aujourd’hui c’est l’un qui donne (de son temps, de son argent, et de sa personne). Qui de nous ne sait pas que la générosité est de l’ordre du don de soi ?
C’est conscient de tout cela que nous autres amis et sympathisants de Maître Malick Sall avons l’obligation de répondre massivement à son appel par la mobilisation la détermination et l’engagement et c’est seulement de cette manière que nous pourrions commencer à lui payer nos dettes. Grand-mère disait que « GNALAW MA FOF NE FADI GNALA NDE ».
Par Daouda GUISSE