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Me El Hadji Diouf, l’élement de trop

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Nous  vous  révélions  hier que la constitution de partie  de la mairie  de Dakar avec  Me  El Hadji Diouf dans le pool des quatre  avocats  chargés  de défendre la cause de l’entité  est un élément nouveau pouvant changer le cours du procès.  On parlait même  d’un risque  d’un nouveau  renvoi.  En effet   cet élément nouveau a fait l’Object d’une exception souligné  par les avocats  de la partie  civile  de l’Etat,  de l’agent judiciaire, mais   aussi   du  ministère public.  L’avocat  à qui  on reproche  d’être dans l’illégalité  et le nom  respect  des formes  a tout bonnement renseigné que pour  une constitution de partie civile,  il  faut simplement  le  notifier  au tribunal.

Il faut noter  que le  conseil municipal a  reçu une délibération  du   préfet lui permettant  e se constituer  partie  civile.  Seulement La délibération est exécutoire au bout d’un certain délai. Le préfet peut demander une certaine lecture. L’acte sur la base n’est même pas encore exécutoire. L’autorité  a demandé  une seconde lecture  qui pourrait prendre  une quinzaine de jours.

Par lettre en référence vous m’avez fait référence.  Et  pour le procureur,  compte tenu  de la disposition du Code général des collectivités locales, la constitution   de partie civile ne peut être évoquée par la ville que si elle prétend avoir été lésée.  Il y a  note-t-on un effet suspensif. Elle n’est pas encore exécutoire pour servir de base de constitution de partie civile de la mairie de Dakar.

 

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