La présumée meurtrière du maçon S. Seck poignardé à mort serait passé aux aveux devant les enquêteurs de la police de Saint-Louis. La suspecte aurait reconnu les faits avec force détails.
D’après son récit macabre, repris par Libération, c’est le défunt qui l’aurait provoqué sans raison. « Il m’a même fait mal à la main », a-t-elle confessé aux enquêteurs.
F. Diop ajoute qu’après avoir réussi à se dégager, elle est rentrée dans sa maison familiale pour s’emparer d’un couteau de cuisine avant d’en asséner un coup à S. Seck. Selon les constats de la police, elle l’a poignardée au niveau du rein droit.