« Ce qui se passe avec Koffi Olomide, c’est son comportement parce que Tabu Ley avait aussi des danseuses, mais en aucun jour il a connu des problèmes avec la justice…il n’est pas le seul leader à voir amené les musiciens en Europe. Nous les responsables des orchestres nous devons avoir un langage de chef. Ce n’est pas parce que tu chantes les procureurs que tu peux maltraiter les autres » indique l’artiste