C’est à la borne une éclisse qui risque de remuer le Cosmos de la presse sénégalaise. Une histoire de mœurs qui ne concerne pas cette fois, une vidéo pornographique d’une journaliste publiée sur le net. Il s’agit d’un scandale sexuel sur la base de chantage concernant le sommet. Un homme de presse qui se fait chanter par une prostituée de nationalité française qu’il aurait rencontré pendant ses voyages dans un hôtel à Paris.
C’en est fallu de peu, pour que les férus de people se gavent goulûment. Et tout n’est pas joué même si des interventions ont calmé les ardeurs de la nymphe qui a séduit « le big boss, touche à tout, très célèbre d’ailleurs ». En effet, l’homme en question est à la tête d’un groupe très influent à Dakar et se serait payé les services de la belle de nuit avec qui il avait fini par nouer une relation durable. « Elle était devenue sa professionnelle du sexe préférée qui lui tenait compagnie pendant tous ses séjours renseigne » une source bien aux faits
Jusque là, tout allait bien. Sauf que le monsieur a commis l’erreur que commettent tous les vantards. Le patron a soufflé à l’oreille de la belle de nuit, le nom du Patron d’un hôtel très connu de Dakar qui est dit-il son ami. Mieux, il a même proposé à sa compagne de ne pas hésiter une fois au Sénégal de séjourner à son nom avec un code qui serait le sésame à l’accueil. Et notez bien à ses frais…
Une offre qui n’est pas entrée dans l’oreille d’une sourde. Depuis un mois et 15 jours, la prostituée est à la capitale Sénégalaise dans cet hôtel au nom du patron de presse. Sauf que la note devient de plus en plus corsée, et le patron se lasse davantage. De son coté, la française n’est pas encore prête à lâcher prise. Aussi il est en train de faire chanter le big boss parce que détenant des photos pas du tout catholiques de lui, et menace de les publier. Pis, elle donne même des noms de journalistes en ligne qui seraient prêt à publier l’affaire…. Un scoop sans doute qui fait froid au dos à un patron de presse peint comme étant un frimeur à la grande gueule … Nous y reviendrons