La recherche effrénée du pouvoir par tous les moyens a poussé le charlatan nommé S. Aïdara à sacrifier par le viol mystique et répété ses deux filles mineures du nom de F. Aïdara et d’A. Aïdara. Celles-ci sont âgées de 16 ans et de 17 ans et passent la nuit dans une même chambre en location avec leur unique frère cadet et leurs deux parents.
Il intègre une secte au Nigeria, qui demande de violer ses filles en guise de sacrifie pour le pouvoir, sinon elles meurent
Après quelques années de mariage, le couple Aïdara bat de l’aile et finit par voler en éclats. Leurs enfants se retrouvent seuls avec leur papa, qui se voit obliger de dormir dans la même chambre avec toute sa progéniture. Mais, face aux difficultés de la vie, le papa réunit ses maigres économies, quitte le pays et part à l’aventure pour chercher fortune. Il atterrit alors au Nigeria, où il intègre une secte dans le but d’obtenir le pouvoir. Il accepte les conditions de la secte en question et subit le rituel d’initié. Mais, pour avoir le pouvoir, il se doit d’exécuter à la lettre les consignes du gourou de la secte, qui consistent à entretenir des rapports sexuels avec ses propres filles, autrement ces dernières vont mourir.
Aïdara a commencé à violer la fille cadette à l’âge de 8 ans et tripotait celle de 9 ans qui lui tenait tête
Aïdara rentre au bercail et commence à coucher avec ses deux filles, qui étaient âgées à l’époque de 8 ans et 9 ans. A chaque fois qu’il a envie de grimper aux rideaux, il attend les heures creuses de la nuit et cible la fille cadette, qui subit sous la contrainte et la menace durant dix ans les assauts répétés de son vieux papa pervers. Un jour, il décide de changer de proie et vise la plus âgée. Mais, cette dernière repousse avec vigueur ses avances et lui oppose une farouche résistance. Le vieux monstre ne s’avoue cependant pas vaincu et engage l’épreuve de force. Mais, à défaut de prendre son pied avec sa fille, il exerce des violences physiques sur elle et lui fait subir les pires attouchements sexuels.
La fille aînée n’en peut plus du supplice sexuel durant 10 ans et balance son père
Un supplice sexuel qui dure pendant dix ans sans que la tante paternelle des filles mineures – qui vit dans la même maison avec son fils – ne soit au courant. Mais, un jour, la plus âgée pète un câble et décide de balancer le père prédateur sexuel. Elle se confie alors à quelqu’un du quartier et lui rapporte leurs misères aussi salaces que révoltantes jusque dans les moindres détails. La nouvelle se répand telle une traînée de poudre, dans le patelin et atteint les quartiers environnants. Tout le monde en parle, mais personne n’ose franchir le Rubicon pour interpeller le papa présumé violeur
Le monstre cueilli, un impressionnant arsenal mystique découvert, notamment une tête de singe
Des notables du quartier prennent leur courage à deux mains, se concertent et alertent les flics du commissariat de l’arrondissement de Yeumbeul Nord. Ces derniers effectuent aussitôt une descente surprise chez Aïdara et le cueillent à froid, histoire d’éviter que le maniaque ne prenne la fuite. Mais, au cours de la perquisition de la pièce, les policiers tombent des nues lorsqu’ils voient un impressionnant arsenal mystique dans la chambre. Mais, une découverte aux relents de magie noire a fait tiquer les agents de police. Il s’agit de la tête de singe dans les «affaires» mystiques du gus.
La fille cadette tombe enceinte et alerte son père qui la fait avorter en lui faisant boire une potion mystique
La fille cadette a chargé son papa et déclare soupçonner celui-ci de la faire avorter par des pratiques traditionnelles. «Quand j’ai constaté une absence de mes règles durant trois mois, j’en ai parlé à mon père. Il m’a fait boire une potion magique ; ce qui a provoqué une fausse couche chez moi et déclenché mes règles». Elle déclare avoir été transformée en objet sexuel durant une décennie par son papa. Qui lui proférait avec sa sœur aînée des menaces en guise de représailles en cas de dénonciation.
Le papa nie le viol et dit chercher du liquide vaginal de ses filles pour le pouvoir
Le charlatan Aïdara nie sans convaincre avoir entretenu des rapports sexuels avec ses deux filles, même s’il reconnait avoir tenté d’obtenir du liquide vaginal de celles-ci sur instructions mystiques de leur secte, basée au Nigeria, dans le but d’avoir le pouvoir. Il a été présenté devant le procureur de la République du palais de justice tout comme son neveu Abdou Khadre S. avant de bénéficier d’un retour de parquet. L’affaire pourrait être mise en instruction.
