En vertu de l’article 28 du code de procédure pénal, « Le garde de sceaux, ministre de la justice peut dénoncer au Procureur général l’infraction à la loi pénale dont il a connaissance, lui enjoindre d’engager ou de faire engager les poursuites ou de saisir la juridiction compétente de telles réquisitions écrites que le ministre juge opportuns »
Faisant allusions à cette disposition, nous tenons à féliciter le ministre de la Justice, représentant du Gouvernement à faire élucider les lanternes des sénégalais et de ceux qui parlent et qui ne comprennent pas.
Nous l’encourageons à continuer dans cette démarche et à faire respecter les exigences de la loi et le maintien de l’Etat de droit.
Avec vous monsieur le ministre, le droit ne sera plus dans l’imprévisibilité et dans l’incertitude.
Monsieur le ministre, continuez à mettre tous les instruments pour la transparence dans la gestion de toutes les affaires.
Et même cela qui s’ajoute avec un principe fondamental selon lequel toute personne qui se voit reprocher une nfraction est réputée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement démontrée, mais très soucieux de la stabilité du pays et le respect des principes fondamentaux qui gouvernent notre Etat de droit vous aviez pris votre responsabilité.
Il est important de rappeler une fois de plus que le Sénégal est une République démocratique ou les pouvoirs sont nettement séparés.
La justice a toujours fait son travail indépendamment et continuera à le faire sans amalgame et sans parti pris.
L’histoire va retenir certainement que le Sénégal va échapper à la malédiction du pétrole grâce à la clairvoyance de ses dirigeants et à la maturité de sa population et surtout à la mise en place de ses fortes institutions dont le Pouvoir judiciaire incarné surtout de prime abord par le garde des sceaux, ministre de la justice, Me MALICK SALL.
MOMO SALLRESPONSABLE COJER MATAM
