La recherche demande des ressources financières suffisantes. Ces ressources ne sont malheureusement pas toujours disponibles au niveau des « Thinks Tanks » des pays africains. Du moins selon le ministre sénégalais en charge de l’économie, du plan et de la coopération. Amadou Hott s’est exprimé en marge de la cérémonie d’ouverture de la journée internationale des Thinks tanks. Il ajoute que son département s’engage à consolider la collaboration fructueuse entretenue jusqu’ici avec les chercheurs et centres de recherche et à poursuivre la valorisation de la production intellectuelle locale.
Il a salué dans la même dynamique, l’esprit coopératif du réseau des « Thinks Tanks » étatiques, de la société civile, du milieu académique et de la recherche, en tant que « groupe de réflexions, laboratoire d’idées ou cabinet d’experts». Pour M. Hott, « cela n’est pas surprenant, au regard de l’engagement patriotique des différentes composantes qui leur permet de jouer un rôle de premier plan dans la production de connaissances et d’évidences scientifiques ».