La justice énergétique et le développement sans émission de carbonne dans l’espace CEDEAO, prônés
Depuis mardi, s’est ouvert à Dakar un atelier de lancement « stratégies optimales en matière d’efficacité énergétique afin de favoriser la justice énergétique et un développement à faible émission de carbonne ». trois jours pendants lesquels, les participants se sont penchés sur les « problèmes les plus pressants ayant un impact sur l’industrie de l’énergie dans l’espace CEDEAO », a expliqué Daniel Maggs, Directeur général de Vale Media Group, entité organisatrice du Wafpow18 (sommet ouest africaine sur l’énergie, en français).
Conscients de l’exposition des pays en développement africains aux impacts des changements climatiques, « une vulnérabilité due au fait que ces pays sont confrontés de manière plus aiguë aux effets néfastes des changements climatiques en raison d’un développement économique limité et d’une plus faible capacité à faire face aux dommages causés par les phénomènes météorologiques extrêmes », il se trouve nacessaire de réfléchir et discuter sur les différentes questions liées
Ainsi, toujours selon M. Maggs, « Wafpow18 s’engage à offrir le meilleur environnement pour un leadership éclairé partagé, une interaction formelle et informelle entre homologues et un engagement de fournisseurs de solutions valable ». Et comme l’a fait ressortir une récente étude se Forbes selon laquelle, pour 92% des cadres, les rencontres sont essentielle pour des relations d’affaires plus fortes, plus utiles et plus rentables, « ce sommet entre dans ce sillage en construisant des environnements idéaux pour réaliser des affaires pour toutes les entreprises », toujours selon le DG de ValeMedia.
Pour Aziz Fall, Directeur de la Promotion et de la Coopération de l’Aner (agence nationale de l’énergie renouvelable), abordant dans le sens est revenu sur l’objectifs de la rencontre qui « s’inscrit dans la logique de ramener l’ensemble des acteurs du secteur énergétique de la sous-région à discuter sur comment faire pour relever les défis institutionnels, technologiques et financiers pour atteindre les objectifs ambitieux de la CEDEAO en terme de génération énergétique à hauteur de plus 30 GW ».
Il rappelle, « l’année dernière la première édition au Sénégal avait permis de réunir les acteurs importants, d’abord la CEDEAO, en commençant par les institutions notamment l’Ecreee (Agence de la CEDEAO sur l’Energie renouvelable et l’Efficacité énergétique), ainsi qu’une représentation de l’ensembles des sociétés électriques de la sous-région et des grandes entreprises qui travaillent dans le seceteur » et poursuit, « cette présente rencontre nous permet de construire sur le succés de l’année dernière et de voir dans quelles mesures on peut se rapprocher dans le recherche de solution ».
Et M. Fall de revenir sur la situation du pétrole au Sénégal qu’il « juge pas optimale pour le moment » mais estime qu' »on a fait des progrès extrêmement importants et substantiels au cours de ces cinq dernières années ».
Par mounamak