Les auberges en cachette favorisent la prostitution clandestine, grognent les habitant de la capitale du Saloum.
« Ces lieux naissent comme de petits champignons à Kaolack où les jeunes filles s’adonnent tranquillement à la prostitution », s’indignent-ils contre ces maisons de passe qu' »on peut trouver presque dans tous les coins et maisons en construction et qui constituent un réel menace pour la santé publique des kaolackois ».
Certaines personnes interrogées sur le phénomène incombent la faute aux responsables de la protection civile qui selon ces dernières ne font pas leur travail à Kaolack où, les gens, pire encore, des jeunes filles et des garçons, continuent de se rendre dans ces auberges pour satisfaire leur libido.
Par Birane Niass pour ThieyDakar
