Engrossée par un commerçant, elle livre son bébé à la police
Une femme de 36 ans a décidé d’abandonner son bébé de deux mois dans des conditions peu habituelles.
Mise enceinte par un commerçant nommé I. Gning, qui aurait refusé la paternité, elle n’a ni interrompu volontairement sa grossesse ni tué ou abandonné son nouveau-né dans la nature, comme ça arrive souvent en pareilles situations. Elle a choisi la voie légale pour se décharger de ses responsabilités de mère.
Les Échos rapporte que Ndèye Awa Niang s’est présentée à la police de Diamaguène Sicap Mbao pour déclarer : «Je voudrais renoncer à la garde de ma fille de deux mois au profit de la nommée Ya Awa Dia. Je suis incapable de subvenir aux besoins de cet enfant dont le père a refusé la paternité. Depuis que j’ai annoncé la grossesse à mon amant, il a bloqué mes appels. Il a ainsi coupé tout contact avec moi.»
Le dossier enrôlé, l’enfant a été confié à l’Action éducative en milieu ouvert (Aemo), informe le journal. Qui ajoute que le procureur de Pikine/Guédiawaye a été saisi de cette affaire d’«abandon d’enfant». Le chef du parquet doit indiquer la voie à suivre.
Avant de se tourner vers la police, souffle Les Échos, Ndèye Awa Niang avait frappé à la porte de la Maison Rose, qui accueille des enfants abandonné par leurs parents. «Mais le personnel trouvé sur les lieux lui a proposé de garder l’enfant tout», rapporte la même source.
Elle n’a suivi ce conseil. «C’est ainsi qu’elle en a parlé à une amie qui l’a mise en rapport avec Ya Awa Dia, qui souhaiterait voir la garde provisoire», renseigne le quotidien d’information.
L’examen du dossier en appel devrait intervenir d’ici un an.
Il était reproché à Me Branco, 34 ans, mis en examen pour viol dans une information judiciaire ouverte à Paris en 2021, d’avoir publié en juin 2023, sur son compte X (ex-Twitter) et sur son site internet, des extraits d’une procédure judiciaire, notamment des procès-verbaux d’audition de plusieurs femmes qui le mettent en cause, et qu’il accuse de mentir.
Le conseil de discipline a estimé que l’avocat avait manqué aux principes essentiels de la profession et au secret professionnel auquel il est tenu.
Franco-espagnol, Juan Branco est connu pour son pamphlet anti-Macron « Crépuscule » publié en 2018.
Il a notamment défendu un temps l’artiste russe Piotr Pavlenski, condamné pour avoir diffusé des vidéos à caractère sexuel de Benjamin Griveaux en 2020, contraignant ce dernier à abandonner la course à la mairie de Paris.