« Rattrapé par ses propos contradictoires permanents, enferré dans ses mensonges, sa marque de fabrique et voulant éviter à tout prix une quelconque confrontation avec la plaignante, Ousmane Sonko choisit alors la posture la plus commode, celle généralement adoptée par tous les politiciens qui ont maille à partir avec la justice: la thèse du complot ». C’est du moins qu’on peut ressortir de la déclaration de la Cojer au sujet de l’affaire Sonko accusé de viol par sa masseuse Adji Sarr.