C’est finalement hier jeudi 21 Août que Maitre Malick Sall a passé le témoin à son remplaçant KHADIME BAMBA DIAGNE. Une cérémonie qui s’est déroulée dans la salle de conférence du COS-PETROGAZ.
Comme à chaque fois l’avocat d’Affaires a assuré et le sentiment du devoir accompli a gagné tous ses collaborateurs qui ont cheminé avec lui pendant tout le temps où l’avocat d’affaires a bénéficié de la confiance du président de la République. «Passation de service», il ya derrière ses mots l’idée d’une continuité. Une continuité indispensable dans l’action mais difficile à assurer car remplacer un homme comme Maitre Malick Sall n’est pas chose facile.
A son arrivée à la tête du COS-PETROGAZ, Maitre SALL a vite sacrifié aussi bien l’essentiel pour l’urgence que l’urgence pour l’essentiel. Cette attitude a beaucoup servi au Secrétaire Permanent sortant qui en a fait une boussole pour ne pas dire un code de conduite.
Au sortir de la cérémonie d’hier, on sentait que durant les moments où il tenait les rênes de ce service stratégique, sa vie avec ses différents collaborateurs a été des moments heureux, heureux surtout pour le travail accompli.
Maitre SALL est arrivé à COS-PETROGAZ en militant du développement; il en sort avec la même détermination, avec les mêmes convictions mais surtout avec une nouvelle énergie décuplée pour toujours aller de l’avant.
Oui Maitre Malick Sall a, depuis le ministère de la justice porté avec fierté des combats majeurs et toujours au service de l’intérêt général.
Pendant son bref passage au secrétariat permanent tous les agents étaient dans «le bon vivre », tous étaient mus par une force qui les dépasse tellement Malick a su mettre cette belle entité au service de ceux qui étaient exclus et surtout il a combattu la ségrégation dans tous le service car il a toujours cru a l’esprit d’équipe et a une bonne articulation entre agents.
Maître, vous quittez COS-PETROGAZ avec le sentiment du devoir accompli car vous y avait mis votre énergie et votre enthousiasme, heureux et fier d’avoir servi la nation .
