Alors que Khalifa Ababacar Sall s’apprêtait à mener son ultime combat face à la justice, son ‘’ mentor ‘’ Avait perdu l’ultime combat contre la mort. Hélas, Tanor n’a pas pu dire non au Dieu de la mort de la même manière que la justice a dit non à son ‘’poulain’’. Khalifa a perdu, Tanor lui, avait laissé une dernière volonté, celle d’unifier la grande famille socialiste.
L’hommage de Khalifa depuis sa geôle, a retenu le bonifié du défunt homme d’Etat. Ce dernier avait manifesté le désire de le voir libre. De simples coïncidences, où des signes du destin. En tout cas il est judicieux de faire la déduction qui se résume en une maxime : « close bataille !!! ». Ce, pour ne pas parler comme la député Aida Mbodjie qui, estime que le décès de Tanor doit servir de leçon. C’est-à dire permettre aux acteurs politiques de marquer un arrêt et de réfléchir sur ce qui les unis plutôt que ce qui les divise.
Les voies de recours de Khalifa Sall étaient la réponse directe du Chef de l’Etat à Chaque fois qu’il était interpellé sur une possibilité de grâce Présidentielle de l’Ex maire de la ville de Dakar. Aujourd’hui tout est épuisé, rien ne bloque. Et si Khalifa avait la possibilité de pleurer le frère qu’il a perdu à coté des siens. La demande formulée par certains khalifistes et autres citoyens semble légitime……