Le conseil des droits de l’homme des nations unies n’a pas évoqué le cas Karim Wade. Le comité qui ne fait que formuler des observations n’a pas non plus évoqué le sujet. Il a été posé au niveau du groupe de travail. Et ces décisions n’ont aucune valeur contraignante. Ces observations sont du ministre de la justice garde des sceaux qui affirme clore définitivement par sa réponse l’affaire dite Karim Wade.
Me Malick Sall face aux parlementaires a indiqué que notre pays est un pays de droits qui a sa signature pour ne pas dire une souveraineté totale. A l’en croire, le Groupe de travail a été saisie par Karim Wade, le dossier a été soumis à la haute Cours de la CDEAO saisie elle-même par Wade fils.
« Les griefs ont trouvé réponse au niveau de cette Cours de CDEAO qui mentionne que le rejet de Karim sur la liste électorale constitue une restriction à son droit de vote mais faite en application de la loi conformément aux codes pénal et électoral du Sénégal. Il a mal diligenté son recours. Sa demande a été rejetée » a clarifié le ministre de la justice. Me Malick Sall a défendu son budget de l’année 2020 à l’Assemblée nationale et a été interpellé sur la question par les parlementaires du parti Démocratique sénégalais ( PDS) Marie Sow Ndiaye, Worré sarr, Serigne Modou Mbacké Bara Doly et Abdou Mbacké. Ledit budget a été voté après des discussions qui ont pris toute une journée par la grande majorité.