Tant qu’on abat des brebis, on ne sera b jamais autonome en terme de mouton. Ce, pour les besoins de la fête de Tabaski célébrée en grande pompe au Sénégal. Il faut que l’État s’organise pour arriver à satisfaire le peuple en mouton. A noter que la demande s’accentue chaque année et les difficultés pour permettre à chaque musulman désirant accomplir le sacrifice est quasi impossible. On assiste ainsi à des prix chers face à la supériorité de la demande face à l’offre.
L’avis est du parlementaire Aïda Mbodji qui a demandé au ministre de l’élevage et la ressource animale d’aller s’il le faut vers des sanctions. » on ne doit plus tuer les femelles » a dit Aïda Mbodj.
Le ministre Samba Ndiobéne Ka, ministre de l’élevage et de la production animale fait face aux parlement pour l’examen de son budget de l’année 2020.