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VIOLENCES BASEES SUR LE GENRE : Le haro d’Onu femmes

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Les estimations mondiales et régionales de la violence à l’encontre des femmes concernant la prévalence et les conséquences de la violence sur la santé du partenaire intime et la iolence sexuelle exercée par d’autres que le partenaire (OMS, 2013) montrent que les violences subies par les femmes et les filles engendrent des conséquences sur la
santé physique et mentale de celles-ci.
NCes conséquences sont entre autre les fractures, les complications de
la grossesse, les problèmes mentaux, la détérioration du tissu social.
Ces violences accroissent fortement la vulnérabilité des femmes face à
toute une série de problèmes de santé à court et à long terme.
En effet, trop de femmes et d’enfants sont exposés aux risques de mortalité maternelle du fait des mariages et grossesses précoces, des
mutilations génitales féminines, des violences physiques, sexuelles,
morales, économiques et juridiques ainsi que la mal gouvernance.
Au Sénégal, selon les dernières enquêtes de l’ANSD sur la santé « sur la période 2000-2015, la mortalitéi nfantile aurait baissé, passant de 68 ‰ pour atteindre 39 ‰ » mais reste encore élevée avec 315 morts pour  100 000 naissances vivantes.

Cette situation est évitable si les populations sont informées et
sensibilisées sur la question, d’où l’urgence de renforcer les
activités communautaires et associer toutes les parties prenantes à travailler en unité avec les médecins.
C’est dans ce contexte que le district sanitaire de Guédiawaye, en
partenariat avec ONU Femmes et à l’instar de la communauté
internationale dans le cadre des « 16 jours d’activisme » contre les
violences à l’égard des femmes et des filles, tient  une rencontre
intergénérationnelle.

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