DERNIERES INFOS
S'informer devient un réel plaisir

VIOL COLLECTIF SUR  UNE  MINEURE DE 14 ANS A DAROUKHAN

0

Comment les mis en cause ont faut de l’élève leur objet sexuel

Une histoire  de  viol  collectif  sur  une mineure   de  14 ans , élevé  de son état secoue  une famille,  un père  dans l’émoi qui a fini  par  trainer  l’affaire devant la barre  du  tribunal  des flagrants  délits de Pikine.  Un  procès  renvoyé   jusqu’au 19  juin pour  plaidoirie.

Assane Diongue, père  de la victime  a  déposé  une plainte  contre Ibou Bopp, Assane Maréga, et  deux autres  individus  non attraits  à  la barre, le procès est  ouvert hier. Le père, enseignant,  domicilié au quartier Daroukhane sis à Wakhinane Nimzatt ne sait  à quel  saint  se  vouer face à  l’acte  ignoble perpétré  sur  sa  petite  fille.

 C’est  en effet, vers  la fin  du mois  d’avril  que  l’irréparable  s’est  produit. Alors que  l’enseignant  avait envoyé  sa  fille  vers  les environs de 17 heures acheter  du  lait  caillé  à  la boutique.  Hélas  il ne le reverra à  sa  grande  surprise  que  le lendemain  vers cinq  heures  du matin.  C’est  du  moins ce qu’il a raconté aux enquêteurs. Cependant, toujours selon ses  déclarations,  des mois avant  les faits (au mois de janvier) aux environs de 3 heures du matin,  le pater avait reçu un appel téléphonique d’un numéro inconnu,  qui l’informait qu’il venait de trouver sa fille  qui pleurait à chaudes larmes près d’une boutique se trouvant dans le quartier de Daroukhan . De l’autre  bout  du fil, l’interlocuteur attestait  connaitre  son domicile  et voulait  venir  jusqu’au  niveau  des  lieux  pour  conduire le père  auprès  de sa fille. « C’est quelques minutes plus tard,   que nous avons remarqué moi et mon épouse  que la victime en plus de porter un pull-over, qu’elle n’avait pas en sortant de la maison, avait une blessure à la main et que plusieurs de ses tresses avaient été arrachées. L’enseignant  notifie  qu’après  insistance  de  sa part,  sa fille  a narré  que  lors  de sa première  disparation, de retour  chez  un ami, il a croisé  un individu  qui ne lui a pas  donné  le temps  de réfléchir. L’homme  dit-elle, lui arraché, ses  tresses et  administré  un coup  de  couteau  à  la main avant  de lui sommer  de le suivre.  Prise  de panique elle s’exécute  sans broncher.

Violée collectivement par une bande  d’acolytes

 Après  ce forfait, le bourreau  a conduit  la môme   quelque  part    dans une maison avant  d’abuser  d’elle. Puis  comme si  elle  l’appartenait, il l’a  confié à  trois autres  hommes qui sont  passés  à tour  à  tour  sur elle. Il a demandé  ensuite  le numéro  de téléphone du père, qu’il a appelé  pour  lui  faire  part  du  lieu  où se  trouvait  sa fille à qui  il a  demandé  le  numéro  de la famille.  « Cet homme n’était ni plus ou moins que le sieur Ibou Diop. Ma fille m’a déclaré aussi que pour ce qui est de sa seconde disparition notamment la fois où je l’ai trouvée à la SDE de Wakhinane Nimzatt, elle a été conduite par le nommé Ibou  Bop chez un de ses amis et l’a obligée à passer la nuit avec ce dernier » a déclaré l’enseignant.

Des déclarations corroborées par la jeune M.S.D,  élève en classe 5ème. « Ibou m’a intimé l’ordre de ne rien raconter à ma mère à propos de ce que je  venais de subir  sinon il allait  tuer  ma  mère  ainsi que mes sœurs. Il m’a conduit  à deux endroits différents. Dans un domicile que je ne connaissais pas. Sur place, on a trouvé une bande de trois personnes. Aussitôt, il m’a jeté sur le lit. Ce qui fait qu’un de ses amis a mis sa main sur ma bouche  au moment où l’autre me déshabillait permettant à Ibou Bop de me pénétrer par force. Ainsi, après avoir refusé de me laver les parties intimes, Ibou bop m’a donnés de violentes gifles avant de m’ordonner de marcher correctement ». Peste-t-elle. La deuxième  fois,  la fille sera  conduite par  la même personne  chez  un ami  qui a passé  la nuit avec elle moyennant  de l’argent.


Les accusés nient  les faits

 Pour  mieux plaider  le dossier, les avocats de  la défense  ont  demandé  le renvoi. Ce, jusqu’au 19 juin prochain. En attendant, les mis en cause  ont  nié  les faits  en bloc. Selon Ibou, Bop, tous  ce que  raconte la jeune fille n’est  que  mensonge.  Contrairement  à  ce qu’il  dit,  Assane Maréga  soutient que  son acolyte  a une fois amené  la victime en son domicile mais, il  n  y avait  pas  de bande pour  abuser  collectivement d’elle. Affaire à suivre…

laissez un commentaire