Les droits de Khalifa Sall sont violés depuis le début. Cela ne surprend point venant d’un pays qui se dit membre d’une organisation de 16 pays mais ne respecte pas quand-même les décisions qu’elle prend.
Ce que le juge a dit aujourd’hui est la suite de ce que le chef de l’Etat avait dit dans la semaine. La pression ne saurait me pousser à céder… Suivez Mamadou Diop Decroix