Depuis toujours, les mouvements de jeunes sont toujours notés dans la politique. Les jeunes ont donc toujours eu une place de choix dans les différentes formations qui ont marqué l’histoire du Sénégal. Leur engagement a être au devant de toute activité à cause de leur dynamisme relatif à leur jeunesse est sans faille. Ils répondent toujours présents et sont au premier rang de toutes manifestation. Seulement cet engagement peut constituer une arme fatale pouvant leur nuire. Des souteneurs du jeune coordonnateur des étudiants Khalifistes dont le procès à été de nouveau renvoyé ce mercredi parlent d’injustice. Selon M.L.Fall c’est une intimidation qui ne dit pas son nom faisant allusion à l’arrestation d’Al Ousseynou. Peine perdu dira ce dernier pour qui leur lutte est pour la bonne cause dit il.
A Mermoz, cet etudiant d’une université privée sise dans ce même quartier ne parle pas le même langage. J.G pense que tout jeune doit être engager mais non dans la violence. » je m’engage a joué ma citoyenneté, j’attends le jour du vote pour aller voter. A travers mon bulletin, j’aurais mon mot à dire dans ce pays » fait il savoir. J.G n’est pas d’avis avec ces jeunes qui dit il se laissent manipuler par des hommes politiques mus par leurs intérêts » pourquoi ils (jeunes) acceptent cela. Est ce que leurs (politiques) enfants sont dans les rangs » nous interpelle t-il
Ce phénomène d’engagement des jeunes dans la politique n’est pas nouveau. L’on se rappel des jeunes de Colobanes qui lors des récentes élections étaient dans la rue pour dénoncer la candidature d’Abdoulaye Wade, Mamadou Diop qui y laissé sa vie pour la même cause, bref autant d’exemples qui pourraient ainsi servir à ces jeunes. Les appels au calme et à la sérénité se multiplient espérons que les messages ne tomberons pas dans des oreilles de sourds. A noter que les forces de l’ordre procèdent depuis quelques jours à des series d’arrestaions de jeunes Khalifistes.