Il est interdit à la NEC d’organiser le second tour « jusqu’à ce qu’elle ait examiné les recours » du candidat Charles Brumskine, arrivé en troisième position avec 9,6% des voix.
« Le Parti de la liberté a présenté ses preuves et nous allons les analyser. D’ici quelques jours, nous espérons boucler l’enquête », a déclaré lundi Musa Dean, un juriste de la NEC.
Les procédures judiciaires pourraient prendre plusieurs semaines, même si la Cour suprême a enjoint la commission électorale d’agir au plus vite.