Des chiffres donnés par ONU Femmes, l’entité des Nations-Unis pour l’égalité des sexes et l’autonomisation de la femme, ont fair ressortir que « les femmes qui ont subi la violence physique ou sexuelle de leurs partenaires seraient 1,5 fois plus exposées aux maladies sexuellement transmissibles ».
A les croire, ces dernières sont 1,5 fois plus susceptibles de contracter une infection sexuellement transmissible que celles qui n’ont pas du y faire face.
Ainsi pour eux, « prévenir la violence d’un partenaire peut contribuer à prévenir les infections sexuellement transmissibles ».
« 38% des meurtres de femmes ont été également commis par un partenaire intime », selon la présidente de l’assemblée générale des Nations-Unies Maria Fernanda Espinosa. Et 35% des femmes ont été victimes de violence physique ou sexuelle dans le monde, d’après une annonce de l’Organisation des nation-unies (ONU) lors de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes et des filles, le 25 novembre 2018.
« Cette violence a de pénibles conséquences pour les familles et la société, avec de graves conséquences pour les enfants. Il y a également des conséquences à long terme pour la santé physique et mentale et des coûts pour les individus et la société » a indiqué le secrétaire général de l’ONU, António Guterres.
Pour le patron de l’ONU, cette violence à l’endroit des femmes est aussi politique, car elle est liée à des questions plus larges de pouvoir et de contrôle des sociétés dans un monde dominé par les hommes.
Par mounamak