Malgré son économie en difficulté, le président namibien, Hage Geingob, a estimé samedi que son pays n’avait pas besoin du FMI, ni de la Banque mondiale.
Lundi dernier, l’agence de notation Fitch Ratings avait évoqué la reprise timide de l’économie et les risques d’endettement qui profilent à l’horizon dans ce pays.
Ce déclassement de Fitch est le second du genre. Déjà, en août dernier, Moody’s, une autre agence de notation, avait montré son scepticisme face à la soutenabilité de la dette souveraine de ce pays d’Afrique australe.
L’année dernière, l’économie de la Namibie a vu sa croissance de 5,7% en moyenne des cinq précédentes années diminuer à 0,8%.
