La maman de Cheikh Dianka, le présumé meurtrier du maçon Malick Béye, s’est confié hier, sur les colonnes du journal Les Echos sur la maladie mentale de son fils.
En effet, la Dame a confirmé la santé mentale déficiente de son fils et à déclaré qu’il souffre de troubles Psychique depuis l’Age de 12 ans. « Il souffre de troubles psychique depuis l’âge de 11 ou 12 ans. Il souffre souvent de crises d’hystérie. Il devient très violent et menaçant pendant ces moment là. J’ai tout fait pour le guérir à travers la médecine traditionnelle mais sans succès. Ses études scolaires ont été compromises à cause de son attitude, car il ne parlait jamais en classe. Sa maîtresse m’avait d’ailleurs interpellé sur ça.De plus, elle affirme aussi que la dernière incartade de son rejeton remonte à quelques jours, quand le bonne homme, dans ses instants de crise, a trouvé un chauffeur de taxie en pleine circulation routière et l’a empoigné fortement sous yeux médusés de ses passagers., avant de casser sa vitre d’un seul coup de point. « Vu qu’il était violent et agressif durant ses moments de crise, j’ai sollicité à mainte reprise le médecin, la police et la préfecture de Pikine, en vue d’anéantir par injection ses bras, pour l’empêcher de s’attaquer aux gens ».
Cependant, la maman précise toutefois que son fils n’est pas un drogué, ne boit pas de l’alcool et ne fume pas de la cigarette, encore moins chanvre indien. « Après le drame, les policiers nous ont demandé de fermer la chambre et de ne laisser personnes y entrer . Il son revenus dans la maison et ont fouillé la pièce.Mais, il n’y ont absolument rien trouvé, car mon fils, malgré son état déficience mentale momentanée, ne fume pas de la cigarette, ni du chanvre indien, encore moins ne boit de l’alcool. Quand il est lucide et en temps normale, il est très correcte avec tout le monde. Il s’assoie devant la porte de la maison et dispose ses fourneaux à vendre », a-t-elle déclaré.
Après nous avoir présenté les différentes ordonnances médicales de son fils, notre interlocutrice a confié que la dernière consultation suivie d’ordonnances de son enfant remonte au 23 mars 2018 à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye, où le bonne homme à d’ailleurs rendez-vous le 24 septembre prochain à 8h. »je me suis ruiné avec son traitement par la médecine traditionnelle, sans succès, avant d’aller à l’hôpital », fait-elle-remarqué. Et de marteler: » C’est la première fois que mon fils tue quelqu’un pendant ses moment de crise de trouble psychique. Il est célibataire sans enfant ». Elle a démentie ainsi les rumeurs disant que son fils avait tué dans le passé.